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 Between two lungs ☆ Mack et Penny.

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Penny Clarks

Penny Clarks


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MessageSujet: Between two lungs ☆ Mack et Penny.   Between two lungs ☆ Mack et Penny. EmptyJeu 30 Déc - 10:47

Between two lungs.
✰ ✰ ✰
C'était une fin d'après midi, sous un ciel d'hiver. Si le village de Keysoe Row n'était jamais très dynamique, c'était la période de la journée où la population active pointait enfin le bout de son nez au dehors. Quant à Penny, elle profitait du coucher du soleil pour rentrer chez elle. À qui demandait ce à quoi la jeune pouvait bien occuper ses journées, il était rare de lui obtenir une réponse bien précise. Elle avait toujours beaucoup à faire, s'occupant la plupart du temps de choses bien futiles qu'elle jugeait pourtant primordiales. Pourtant, ce n'était pas l'ennui qu'elle craignait. Au contraire, elle avait toujours trouvé bien attirante l'idée de rester immobile, laissant son esprit s'éclaircir de tous les problèmes pour rêvasser à des réflexion fugaces. Souvent, le soir, elle s'asseyait au bord de la fenêtre, le regard perdu à l'horizon, une tasse de thé entre les mains. Qui pouvait penser qu'il n'y avait pas grand chose à faire dans un coin campagnard comme Keysoe Row pouvait bien vite se détromper. Encore faudrait-il préciser que Penny n'accordait de son précieux temps qu'aux choses qu'elle jugeait dignes de son intérêt. Passer au commissariat avec son père, comme elle l'avait fait cet après midi, faisait partie de ce qu'elle aurait, elle, jugé inutile. Le maire s'y était rendu pour échanger quelques mots amicaux avec le commissaires, les lieutenants, pour glisser quelques interrogations sur l'avancée des dernières affaires et pour obtenir au passage les faveurs de futurs électeurs. Il avait toujours été doué en jeu d'esprit et manipulation. Penny, elle, avait profité de cette virée au commissariat pour ignorer royalement son ami Mack. Elle gravit les cinq marches qui menant au palier de la porte, tout en repensant à la journée écoulée. Sa maison, de quatre pièces très spacieuses, avait appartenue à sa mère, à l'époque où elle-même n'était encore qu'une jeune femme se lançant dans la vie active. Penny avait toujours pris soin de cette maison, qu'elle considérait comme un héritage de cette mère qu'elle n'avait jamais connue, une précieuse relique. Une terrasse dominait le jardin, clôturée d'une barrière de fer rouillé. Penny s'arrêta sur le seuil, plongeant sa main droite dans son sac, à la recherche de ses clés, tout en jetant aux alentours des coups d'oeil furtifs. La dernière chose qu'elle désirait, c'était de tomber sur Mrs Chattermine, la voisine d'à côté, une petite vieille affreusement gentille que Penny ne pouvait supporter. Ses doigts avaient beau fouiller chaque parcelle et recoin de son sac, il lui était impossible de mettre la main sur ses fichues clés. Soudain, elle comprit. Elle se donna une tape sur le front, de sa main gauche, en poussant un gémissement contrarié. Dans sa tête, la scène se jouait dans les moindres détails : elle avait sortit sa pochette et l'avait posée sur le bureau à côté du distributeur du commissariat, le temps d'y glisser deux pièces. La pochette était restée sur le bureau, les clés dedans. Sans y réfléchir à deux fois, elle tira son téléphone portable de son sac et composa le numéro de Mack. Elle tomba sur le répondeur. « Mack, écoute tu vas rire. Je crois bien que j'ai laissé mes clés au commissariat... elles sont dans une pochette en cuir rouge, près du distributeur. Maintenant tu vas être trop gentil et, dès que tu as fini, tu vas me les apporter... Sérieux, ça ne te fais qu'un petit détour. Je compte sur toi, Mack. » Elle ne s'y était pas prise de manière douce, mais qui connaissait Penny savait qu'il était rare de l'entendre demander quelque chose avec gentillesse et politesse. Le soleil disparaissait au loin, derrière les collines. En hiver, la nuit venait tôt, et avec elle le froid glacial recouvrait la vallée. Elle reposa son téléphone dans sa poche et, poussant un long soupir, se laissa glisser au sol, en s'adossant au mur. Penny frissonna dans la pénombre. Elle espérait simplement que l'attente ne serait pas trop longue.
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Mack Whealer
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MessageSujet: Re: Between two lungs ☆ Mack et Penny.   Between two lungs ☆ Mack et Penny. EmptyJeu 30 Déc - 23:53

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La journée au commissariat se terminait peu à peu. Les rideaux se tiraient un à un dans les bureaux et les employés du commissariat prenaient tous congé. C’est aussi ce que Mack allait s’apprêter à faire. Être stagiaire au commissariat n’était pas toujours une partie de plaisir. Classer les dossiers était d’un barbant inimaginable. Et ça avait été sa triviale occupation durant toute cette journée, à son plus grand bonheur. Il était donc aux anges lorsque le commissaire vint lui glisser à l’oreille qu’il pouvait partir et retrouver son chez-soi. Certaines journées au commissariat pouvaient être ennuyeuses à mourir comme celle d’aujourd’hui ou, au contraire, passionnantes lorsque que quelconque événement pointe le bout de son nez. Le seul événement qui aurait pu marquer la journée d’aujourd’hui aurait été d’adresser la parole à Penny. Oui, car la jeune fille était passée au commissariat tout à l’heure, assistant son père qui venait échanger quelques mots avec le commissaire histoire de se tenir au courant de l’avancée de certaines enquêtes. Rien. Même pas un mot. Même pas un regard. Comme si Mack était devenu invisible le temps de cette journée. Mack avait toujours eu du mal à comprendre comment le cerveau de la petite rousse résonnait mais là, il était totalement perdu. Cette fille devait être illogique et insensée, oui, ça devait être ça. Le problème était que Mack était devenu raide dingue de ce petit bout de femme capricieuse et hautaine. Certes, il n’aurait jamais du mais vous savez l’amour, ca vous tombe dessus, comme ça sans prévenir, et puis vous n’avez qu’à vous « démerder » comme pourraient dire certains. Le jeune homme rassembla ses affaires et alla chercher sa veste dans les vestiaires, il en tâtonna les poches et trouva son portable. Mack éteignait toujours son portable lorsqu’il était de service, histoire d’être disponible au maximum, en bon élève qu’il était. Le petit jingle d’allumage se fit retentir discrètement dans les vestiaires des locaux du commissariat et un message lui indiqua qu’il avait un nouveau message dans sa boite vocale. « Mack, écoute tu vas rire. Je crois bien que j'ai laissé mes clés au commissariat... elles sont dans une pochette en cuir rouge, près du distributeur. Maintenant tu vas être trop gentil et, dès que tu as fini, tu vas me les apporter... Sérieux, ça ne te fais qu'un petit détour. Je compte sur toi, Mack. » Sur le cul. Oui c’était l’expression qui convenait le mieux pour décrire la tête que tirait en ce moment le jeune stagiaire. Pour qui elle se prenait celle-là ? Ce n’est pas parce qu’elle est la fille du maire et qu’elle détient le cœur de Mack en otage qu’elle a tous les droits ! Quoique. Enfin bon. Ce n’était pas la question. Mack se surprit à trembler de colère et d’amour à la fois. Quelque part, il mourrait d’envie de la laisser geler dans le froid et d’une autre, il aurait tout fait pour ne lui adresser la parole qu’un instant. Mais pour lui obéir ainsi, il aurait fallu être faible et il n’en était pas un. Il n’était pas le serviteur de Madame Clarks. Il ne lui devait rien. Le message datait d’il y a environ un quart d’heure. Elle devait déjà goûter à la brume hivernale de la fin de soirée tellement habituelle à Keysoe Row. Cette pensée fit sourire Mack, d’un sourire quelque peu, sadique. Bien fait pour elle. Mack jeta alors un coup d’œil à l’endroit décrit par la petite et y trouva le trousseau de clé enveloppé d’une pochette rougeâtre. Quelque part, ça pourrait être un moyen de pression de détenir les clés de Pen. Un excellent moyen de pression. Il y a quelques temps, Mack aurait été lui rendre sans chiner, et serait reparti sans l’ombre d’un baiser ou même d’un regard. Mais tout cela avait évolué. Il ne se laissait plus faire désormais. Encore moins par cette bique de Penny. Il prit son portable entre les mains et écrivit un message à l’adresse de la jeune fille : « Je ne suis pas ton chien. Donne-moi une bonne raison de faire ça. » Puis il envoya le message et il fut transmis au destinataire. Mack n’avait pas envie d’affronter la voix de la jolie par téléphone bien qu’il était presque sûr qu’elle allait le rappeler. Il espérait pouvoir obtenir quelque chose qu’il attendait depuis longtemps en échange de ce trousseau de clés.


Dernière édition par Mack Whealer le Dim 2 Jan - 21:04, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Between two lungs ☆ Mack et Penny.   Between two lungs ☆ Mack et Penny. EmptyDim 2 Jan - 18:55

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À l’horizon, le soleil disparaissait derrière les collines, laissant ses ultimes rayons s’étendre sur la vallée dans une lumière rose pastel. Les nuits étaient toutes semblables, à Keysoe Row. Le froid glacial et le vent mordant se perdaient dans une brume légère qui descendait des hauteurs, inquiétante , enveloppant le silence de l’obscurité dans un voile sombre. Penny n’avait jamais eu peur du noir et elle craignait plus le soleil étouffant d’été que le froid polaire, mais les attaques cruelles de la bise provoquaient en elle de légers frissons. Elle aurait très certainement pu se rendre elle même au commissariat qui, après tout, n’était pas très loin, mais elle n’avait pas du tout envie de reprendre sa voiture, maintenant la nuit tombée. Elle ne s’était jamais sentie très à l’aise, au volant. Peut être était-ce dû à l’accident de voiture de sa mère, mais quoi qu’il en soit, à chaque fois qu’elle mettait un pied dans l’habitacle d’un véhicule, elle ne pouvait s’empêcher de sentir sa gorge se serrer. C’était une sensation qu’elle n’avait jamais laissé paraître ou à qui elle n’avait jamais touché mot. Elle préférait garder ses faiblesses pour elle, comme le lui avait souvent enseigné son père. Le vibreur de son téléphone portable la fit brusquement sursauter, la tirant de ses réflexions. Elle fouilla son sac avec fébrilité, engourdie par le froid. C’était un message de Mack . « Je ne suis pas ton chien. Donne-moi une bonne raison de faire ça. » Elle resta bouche bée devant ces deux phrases. Peu de personnes parvenaient à supporter réellement la jeune fille. Elle était réputée pour son mauvais caractère, mais si ces rumeurs n’arrivaient pas quelque part c’était bien à ses oreilles. Elle ne se rendait pas toujours compte de la rudesse de son ton, de son impolitesse et de son impatiente sans bornes. Quand bien même s’en rendait-elle compte, elle s’en fichait par dessus tout. Si elle devait reconnaître ses erreurs, ce n’était certainement pas à haute voix. Maintenant elle regrettait surtout de s’être comportée comme elle l’avait fait dans la journée. Ignorer superbement Mack ainsi ne s’était finalement pas avéré la meilleure idée qu’il soit. Elle s’était souvent demandée si le garçon savait que ses sentiments pour elle s’avéraient réciproques. Se munissant de son téléphone qu’elle avait malencontreusement fait tomber à ses pieds, elle s’empressa d’envoyer une réponse. « Parce que je suis ta raison de vivre… ce n’est pas une raison suffisante ? ne ferais-tu pas tout pour moi ? Ok, si tu m’amènes mes clés, je te serais redevable. Demande moi quelque chose, je le ferais. C’est suffisant ? Maintenant j’espère que ton prochain message, ce sera pour me dire dans combien de temps tu seras là » Elle envoya son message, non sans avoir auparavant relu ce qu’elle avait écrit. Elle espérait seulement que le garçon se laisserait convaincre, avant qu’elle ne songe à passer par la fenêtre. Elle poussa un long soupir, croisa les bras sur sa poitrine espérant ainsi calmer ses frissons les plus ardents. La pénombre avait maintenant recouvert le village. De vives lumières s’échappaient des volets mi-clos des maisons alentours. On pouvait saisir des clameurs de voix et de bribes de conversations, mêlées au sifflement rauque du vent. Penny avait fermé les yeux. Elle n’était pas très agréable envers Mack. Même si elle le regrettait dans la plupart des cas, même si elle se résolvait à faire des efforts, à chaque fois qu’elle le croisait, toutes ses promesses volaient aux éclats. Quand elle le voyait, il était le reflet de sa plus grande faiblesse. Elle n’avait jamais su comment se comporter en sa présence. Elle tenait tellement à lui, mais en aucun cas elle ne voulait laisser paraître son amour. Elle l’avait rejeté tellement de fois, traité comme un moins que rien. Sans vraiment de différence qu’avec la plupart des gens avec lesquels elle s’entretenait. Pourtant il n’était pas la plupart des gens. C’est sans vraiment réfléchir que, prenant à nouveau son téléphone entre ses mains, elle s’appliqua à composer un nouveau message. « S’il te plaît, Mack ». Elle appuya sur le bouton d’envoi en poussant un énième soupir. Ramassant son sac de sa main droite, elle se mit sur ses pieds avec souplesse. La lampe d’extérieur s’était allumée avec la venue de la nuit. Il n’était pas très tard encore mais l’obscurité tombait tôt à cette période de l’année. Penny croisa les jambes, s’appuyant dos contre la façade en pierres grises. Elle jeta un regard assassin au chien de la maison voisine qui, ayant perçu son mouvement, aboyait maintenant à gueule grande ouverte. Le lévrier de sa belle-mère mis à part, elle ne supportait pas les chiens. Elle ne partageait d’ailleurs pas vraiment avec elle sa passion pour les animaux. Elle avait grandit avec cette femme qui avait prit soin d’elle comme le ferait une mère, mais elles n’en restaient pas pour le moins très différente. C’était sûrement une des raisons pour laquelle Penny s’était toujours sentie étrangère à elle, ne partageant pas cette même complicité qu’elle avait avec son père. La jeune femme n’était pas non plus du genre à s’ouvrir à tout le monde. Si son caractère très agressif n’épargnait personne, elle était plutôt réservée à son propre sujet. Souvent elle ne jugeait pas les gens digne de son intérêt et préférait leur réserver un regard hautain. Dans son esprit, ses pensées s’acheminaient peu à peu à nouveau vers Mack. Elle croisait les doigts quant à la réaction et à la réponse du garçon. En cet instant, c’est sans hésitation qu’elle aurait accédé à ses moindres désirs.
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Mack Whealer
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MessageSujet: Re: Between two lungs ☆ Mack et Penny.   Between two lungs ☆ Mack et Penny. EmptyDim 2 Jan - 21:03

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La nuit était tombée désormais et Mack avait rejoint sa voiture, le trousseau de clés rouge en poche, gardé comme un bien précieux. Ce trousseau de clés allait, peut-être pouvoir lui ouvrir des portes qui ne s'étaient jamais ouvertes, qui sait. Il claqua la portière de son véhicule et tourna la clé de contact, le moteur vrombit et il mit la radio en marche, en appuyant sur un petit bouton quelque peu usé. Le présentateur parlait de la météo qu'il allait faire durant la semaine mais Mack n'était pas attentif à ses dires, et pensait à la réponse qu'allait lui fournir Penny. Elle devait être morte de froid désormais. Réalisant que c'était trop cruel, Mack pensa alors à démarrer et à aller lui rendre son trousseau de clés. Mais le vibreur de son gsm dans la poche de son jean le stoppa dans son élan de bonté. Il lut le sms à haute voix sans s'en rendre compte. « Parce que je suis ta raison de vivre… Ce n’est pas une raison suffisante ? Ne ferais-tu pas tout pour moi ? Ok, si tu m’amènes mes clés, je te serais redevable. Demande moi quelque chose, je le ferais. C’est suffisant ? Maintenant j’espère que ton prochain message, ce sera pour me dire dans combien de temps tu seras là. » Certes, elle était sa raison de vivre et il aurait tout fait pour elle. Mais la question était qu'elle ne le méritait pas. Une vraie âme soeur n'aurait pas profité de ses deux raisons pour en tirer profit. Tout le monde savait que la petite Penny était quelqu'un de calculateur et sans scrupule mais qui aurait cru que même en amour, elle voudrait tirer profit de son amant. Redevable, Mack n'y croyait pas trop. La roussette lui avait déjà menti mainte fois, il n'y croyait plus. Mais il enclencha tout de même la première vitesse après avoir remis son portable en poche et sortit de sa place de parking en reculant. Il sentit alors son portable vibrer une seconde fois. Était-ce sa mère qui s'inquiétait ? Possible. Le portabla affichait le nom de Penny. Mack n'y croyait pas. « S’il te plaît, Mack. » De mieux en mieux. Jamais Penny n'avait envoyé un message de son propre chef. Jamais. Il y avait du progrès. Mack démarra tout en songeant alors que c'était peut-être le bon jour. Il ne répondit pas à la demoiselle pour lui laisser un peu de suspens, histoire de voir sa réaction lorsqu'il arriverait. Sa réaction témoignerait des ses sentiments. C'était le seul moyen de savoir si elle serait vraiment redevable. La voiture prit quelques virages dans des petites rues et finalement se parka. Mack tira le frein à main et sortit de la voiture. Il arriva au coin de la rue de sa bien-aimée et la vit au loin, adossée contre la façade de maison. La belle regardait le sol et ne vit donc pas Mack arriver. Il fit doucement et modéra le bruit de ses pas, en faisant très attention de ne pas se faire repérer par une feuille morte malencontreusement piétinée. Lorsqu'il arriva près du seuil, la jeune fille leva la tête, ayant sans doute senti une présence, et Mack la regarda, droit dans les yeux sans aucun sourire, attendant une réaction, en priant pour qu'elle soit à la hauteur de ses espérances.
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